Selon Le Larousse, le terme confinement fait référence au fait d'être confiner, mais ce mot est également un terme de droit criminel qui fait référence à l'isolement dans le prisons (https://www.littre.org/definition/confinement).
Ce partage est une réaction face à la situation de confinement internationale que plusieurs personnes à travers le monde vivent actuellement, en parallèle avec les impacts psychologiques du confinement qui pourraient en découler, en réponse à l'article suivant paru en 2018 sur PsychologyToday.com
Bien que le contexte du COVID-19 et de l'incarcération soient complètement différents, nul ne peut nier qu'il faut s'attendre à des conséquences sur la santé mentale, même chez les plus intravertis. Dans cet article, on mentionne plusieurs symptômes prévisibles à la sortie d'un confinement prolongé, tels que:
- Troubles affectifs
- Anxiété
- Paranoia
- Dépression
Comment peut-on agir face aux risques de troubles mentaux pendant ce confinement?
Selon mon expérience personnelle, le confinement est aussi une opportunité de se recentrer sur ses valeurs, ses objectifs et de se rapprocher de ses proches. En fermant les services non essentiels, ceci donne l'opportunité à tous de se concentrer sur ce qui est vraiment essentiel. On dispose peut être de plus de temps, plus de quiétude pour penser à la famille, des amis, des proches, des collègues. On renoue des liens brisés, on en crée des nouveaux, on fortifie nos liens.Selon la hiérarchie des besoins de Maslow, une fois les besoins physiologiques et de sécurité sont comblés, l'être humain cherche à combler son besoin social, d'amour et d'appartenance. Il serait donc possible de sortir revigorisé du confinement, avec des lunettes roses et l'espoir d'un monde meilleur ☯☯☯
